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Ateliers de développement personnel à l’attention des entreprises

 

DE LA NÉCESSITÉ DE PRENDRE EN COMPTE LE FACTEUR HUMAIN

En 2004, un nouveau sélectionneur arrive à la tête de l’équipe de France de football. Il recrute pour former son équipe des joueurs brillant sur le plan international et jouant dans le top 10 des meilleurs clubs européens. Ce nouveau sélectionneur va pourtant décider, selon un schéma tactique « idéal » sur le papier, de changer les joueurs de position sur le terrain, sans tenir compte de leurs habitudes, aspirations, affinités. Remplaçant les uns par d’autres sans prendre en considération le facteur humain et de la façon dont vont être perçues ses prises de décisions, il va provoquer de fâcheux dommages collatéraux, l’ambiance relationnelle entre joueurs s’en trouvant fort dégradée. Par ailleurs, Les joueurs n’étant pas sollicités dans la construction de la tactique, ils ne se sentent ni valorisés ni impliqués, ni respectés, ce qui ne pousse pas le sportif vers un fort engagement personnel. Cela va dans les faits provoquer une démotivation générale menant à terme à une véritable mutinerie. Ces joueurs de renommée internationale ne sont alors pas vus comme des êtres humains mais comme des pions à placer sur un échiquier et sont utilisés à contre-courant de leur potentiel, ce qui mènera l’équipe de France progressivement mais assurément à un échec cuisant, malgré la qualité individuelle évidente de ses joueurs.

La nécessité de mieux tenir compte du facteur humain dans les projets et décisions prises est de plus en plus reconnue tant dans le sport qu’en entreprise et l’on sait actuellement que performance rime avec « bien-être » au travail, ne pouvant se résumer à des approches simplement divertissantes et infantilisantes telles que les proposent certains ateliers de teambulding (baby-foot, ateliers chant, etc.) et qui, loin de favoriser des sentiments de reconnaissance et d’épanouissement personnel sont un manque de considération évident pour les individus et leur potentiel. Il est ainsi en effet essentiel de miser sur le développement de ce facteur humain, sans quoi les « plans de développement », aussi brillants soient-ils sur le papier risquent de rester lettre morte, les personnes censées les incarner et les mettre en application ne se les étant pas appropriés et ne se sentant pas pleinement exploitées dans leurs compétences. Et cela commence évidemment par soi-même. De grandes entreprises comme Google prévoient désormais des ateliers de développement personnel pour leurs salariés, ayant bien compris que toute activité de développement durable doit passer par le développement humain. Créativité, flexibilité psychologique, aisance relationnelle, résistance au stress ou encore autonomie en sont les maitres mots.

Cette série d’ateliers vise à enseigner aux participants des habiletés mentales leur permettant de faire face plus efficacement au stress et aux challenges multiples auxquels ils sont confrontés dans leur vie professionnelle, construire une psychologie positive en identifiant et en exploitant pleinement leurs ressources et forces de caractère, mais également de développer leur intelligence émotionnelle et d’acquérir les savoirs-être indispensables à la réussite professionnelle et du projet d’entreprise qui ne peut se résumer à une collection de réussites individuelles.

Les stratégies de développement personnel enseignées par l’intervenante lors des ateliers proposés en première partie de document sont issues des dernières recherches en psychologie positive, en psychologie de la performance sportive (de plus en plus utilisée dans le monde de l’entreprise) et empruntées à la troisième vague de thérapie cognitive que sont les approches de pleine conscience (mindfulness).

Elles mêlent exercices pratiques et mises en situations très concrètes de psychologie cognitive suivis de débriefings donnant lieu à des apports théoriques en réponse aux questions qui se posent. Il est en effet essentiel que l’enseignement soit vivant afin que les participants puissent expérimenter EN et POUR eux-mêmes et non simplement comprendre intellectuellement les notions abordées et se les approprier, afin de les véhiculer plus sûrement dans les contextes dans lesquels ils sont impliqués.

Dans la deuxième partie de ce présent document vous sera proposé le programme MBCT (Mindfulness Based Cogntive Therapy) adapté au contexte de l’entreprise et de la performance, la mindfulness étant une approche nouvelle qui a fait la preuve de son efficacité dans un nombre d’indications croissant dont la gestion du stress dans le champ de l’entreprise (des entreprises comme Google, Hewlet Packard, Ford, L’Oréal, etc. proposent la mindfulness à leurs salariés) ou dans le champ de la performance sportive.  Cette méthode innovante propose des programmes d’entrainement graduel d’acquisitions d’habiletés mentales en 8 semaines, à raison de 2h30 hebdomadaires. L’esprit et le contenu de cette approche vous seront exposés.

 

  • SÉRIE D’ATELIERS DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL (2h-2h30/atelier)

 

ATELIER 1 – Savoir gérer son stress pour mieux performer.

Le stress étant défini comme « une réaction adaptative de l’organisme en vue de faire face aux exigences de son environnement », la notion de stress est intrinsèquement indissociable de la notion de « travail ». Aussi, si bien dosé, le stress professionnel est nécessaire à la performance, amenant l’individu à des niveaux d’énergie, de vigilance et de concentration optimaux, il devient, à forte dose ou mal adapté une entrave tant en termes d’épanouissement personnel que d’atteinte des objectifs, amenant l’individu à s’enfermer dans des modes de réaction stériles (procrastination ou au contraire perfectionnisme excessif, perte du sens des priorités, surmenage, conflits, absentéisme, etc.) ce qui réduit la prise d’initiatives, la créativité et l’aptitude à la recherche de solutions originales et collectives aux multiples défis qui s’imposent dans tout contexte professionnel. Les coûts tant au niveau individuel que collectif, humain ou économique sont énormes. Dans ce cadre, donner la possibilité aux collaborateurs de bien savoir identifier de quel type de stress ils souffrent et de mieux savoir le canaliser est un enjeu de développement majeur pour les entreprises.

Tel est l’objectif de cet atelier qui, grâce à l’apport des Thérapies Comportementales et Cognitives, vise à permettre de participants

  • De mieux identifier leurs sources personnelles et professionnelles de stress, le type de stress qui est le leur,
  • De faire la différence entre ce qui est sous leur contrôle (et qu’ils peuvent apprendre à améliorer) et ce qui ne l’est pas (et qu’ils ont tout intérêt, en termes de gestion du stress, à accepter plutôt que de s’acharner puis s’épuiser à vouloir les changer) et enfin,
  • De réduire leur réactivité physiologique et émotionnelle au stress en apprenant des stratégies simples de relaxation pouvant facilement être implémentées dans le contexte de travail afin d’optimiser leur résilience et leur capacité à faire face au stress.

 

ATELIER 2 – S’appuyer sur les acquis de l’expérience pour identifier ses savoirs-être et ses forces de caractère

 

Notre patrimoine psychologique et donc génétique est composé de traits et de forces de caractère qui tendent spontanément à s’exprimer. Cependant, faute d’un contexte propice à cette expression, elles peuvent amener l’individu qui en est porteur à se positionner à contre-courant des exigences de son environnement. Les coûts en sont une contre-productivité au niveau collectif et un déficit d’accomplissement personnel au niveau individuel pouvant à terme mener au burn-out voire à la dépression. Il est donc de la responsabilité des entreprises de savoir repérer et exploiter les potentiels là où ils sont. Car s’épanouir et exploiter ses forces de caractère, plus qu’un luxe est un besoin. Un altruiste ayant tendance à venir en aide à ses collaborateurs sera mis à mal dans un contexte ultra-compétitif. Par contre, là où le travail d’équipe est essentiel, il sera au contraire un atout précieux. Un individu dont la force de caractère est la curiosité sera malheureux dans un type d’activité où les tâches sont codifiées et routinières. Sa force de caractère tendant naturellement à s’exprimer à son insu, il tentera de mettre un peu de fantaisie dans son travail, se mettant en porte-à-faux avec les exigences de sa hiérarchie là où une personne dont la force de caractère est la rigueur sera mieux appréciée. Si notre curieux change de contexte professionnel et que l’on attend de lui de trouver des solutions innovantes à des problèmes complexes, sa curiosité naturelle et son ouverture d’esprit deviendront au contraire un atout. Dans ce cadre, bien identifier et exploiter ses forces de caractère devient un enjeu crucial tant en termes de développement personnel que collectif.

Cet atelier vise, à l’aide d’outils empruntés à la psychologie positive et du travail, à permettre aux participants à mieux identifier leurs forces de caractère ainsi que les conditions propices à leur épanouissement au sein de leur contexte professionnel.

Cet atelier, particulièrement important en termes de développement personnel pourra,  selon les besoins, faire l’objet de 2 séances supplémentaires.

 

ATELIER 3 – Développer ou renforcer son estime de soi, outil essentiel pour performer

 

L’estime de soi est le rapport que nous entretenons avec nous-mêmes, sorte de baromètre intérieur qui se met à clignoter lorsque nous nous éloignons de nos idéaux et de ce que les autres attendent de nous, leur jugement. Trop développée, elle aboutit à ce que les psychologues nomment une « fausse haute estime de soi fragile », sorte de « gonflette de l’ego » où se faire valoir signifie souvent nier ses défauts et écraser les autres à travers des comportements qui gangrènent le travail en équipe et entravent fortement l’atteinte des objectifs. Trop faible au contraire, elle ne permet pas à l’individu de prendre conscience et d’exploiter son plein potentiel. Bien ajustée, elle favorise la remise en cause nécessaire à la bonne adaptation de la personne à son contexte sans s’éloigner trop ni priver le groupe de ce qui fait son originalité et ses qualités personnelles. Nous comprenons donc aisément en quoi le développement d’une bonne estime de soi est primordial en termes de performance.

Cet atelier a pour objectif, à travers des exercices de thérapie cognitive, de permettre aux participants d’évaluer leur estime de soi et d’apprendre à en prendre soin et à la renforcer si nécessaire de façon à prendre conscience et à exploiter pleinement leur potentiel.

 

ATELIER 4 – Savoir développer son intelligence émotionnelle grâce à la pleine conscience

 

Un des facteurs essentiels de réussite de tout projet entrepreneurial, nous avons vu, est le facteur humain. Recruter les meilleurs compétences techniques, s’entourer d’experts, avoir les meilleures études de marché ne suffit pas. Tous les plans de développement, aussi séduisants soient-ils sur le papier risquent de rester vains sans des personnes susceptibles de les porter collectivement. Dans ce sens, la réussite du projet entrepreneurial ne peut être qu’une réussite collective où chacun travaille en synergie et non à contre-courant de ses collaborateurs. Ainsi, savoir développer son intelligence émotionnelle, cette ressource qui nous permet d’entrer en connexion avec les autres, de mieux les comprendre et de tenir compte de leurs motivations, aspirations, besoins et limites aussi (dont la non prise en compte peut aboutir à une impasse) est primordial. L’inverse, comme l’ont montré certains exemples de management par la pression, ne peut qu’aboutir à un véritable gâchis tant sur les plans humain, social qu’économique.

Grâce à des méthodes innovantes et modernes telle que la pleine conscience (mindfulness, voir 3ème partie) s’invitant de plus en plus tant dans le champ de l’entreprise que dans celui du sport de haut niveau, nous pouvons apprendre à développer notre intelligence émotionnelle, enjeu majeur de développement durable, à nous connecter à nos propres émotions, porteuses d’informations essentielles sur nos besoins et ceux de notre entourage et à être plus ajustés et efficaces dans les multiples prises de décisions qui ponctuent la vie des entreprises. C’est le but de cet atelier mêlant exercices de pleine conscience de ses émotions, mises en situations ludiques et apports théoriques en réponse aux questions qui se posent.

 

ATELIER 5 – Apprendre à développer pour soi et ses collaborateurs, des sources de motivation positive

 

« Il faut que je boucle ce dossier », « je dois envoyer une réponse à ce client »… Et si ces petites phrases que nous avons tendance à nous répéter à nous-mêmes tant nous pensons qu’elles nous conditionnent à être plus productifs, plutôt que de nous aider, étaient des freins à notre créativité et à la performance ? Car passer par le « il faut » pour faire les choses crée de la frustration qui est une émotion négative de plus à gérer et qui nous éloigne un peu plus de notre objectif. Savoir, au-delà des « il faut » et des « je dois » identifier et renforcer ses sources personnelles de motivation intrinsèque (prendre du plaisir à faire ce pour quoi on se sent compétent) et extrinsèque (l’attente d’un résultat motivant) permet d’accroitre le niveau d’énergie positive dont nous avons besoin pour affronter les multiples défis personnels et professionnels.

Grâce aux méthodes utilisées par les sportifs de haut niveau en psychologie de la performance, le but de cet atelier est de permettre aux participants de prendre conscience pour eux-mêmes et leurs futurs collaborateurs des effets délétères d’un seul management par la pression et d’avoir à l’issue de l’atelier pu remplacer les « je dois » et les « il faut » par les « j’ai envie de » ou encore « il est important pour moi de » susceptible de les connecter à leurs sources personnelles de motivation positive leur permettant là encore de libérer leur plein potentiel.

 

ATELIER 6 – Développer une pédagogie de l’échec : savoir se servir de ses échecs pour rebondir et renforcer sa capacité de résilience.

 

Savez-vous qu’un sportif qui n’a pas vécu l’échec tôt dans sa carrière est extrêmement vulnérable à l’échec dans le futur ? Pourquoi ? Parce qu’il n’a pas appris que l’échec était possible et était surmontable. Qu’il faisait partie du parcours vers la réussite. Il le voit comme étant insurmontable. Lui qui pensait qu’il ne pourrait jamais échouer, il se dit maintenant qu’il ne peut plus avoir confiance en son jugement et est la proie du doute. L’échec est donc une pièce essentielle du succès durable mais à certaines conditions :

  • Que l’échec reste modéré pour qu’il soit surmontable (d’où l’importance d’une prise de risque réelle mais également modérée) ce qui implique de fixer des objectifs à difficulté graduée dans lesquels le seul résultat n’est pas visé mais également des objectifs de progression et de maîtrise (sachant que plus les objectifs de maîtrise sont atteints, plus ceux du résultat risquent de l’être…).
  • Ne pas l’interpréter comme étant intrinsèque à sa personne, global et durable (ne jamais remettre en cause sa valeur personnelle mais des comportements qui ont posé problème ou des lacunes spécifiques). Dans ce sens, connaitre et exploiter ses forces de caractère et faire ce pourquoi on est fait est une condition indispensable sans laquelle tout échec ne pourra qu’être interprété comme le signe d’une faiblesse personnelle insurmontable. (Le lien sera donc fait avec les précédents ateliers),

Dans cet atelier, les participants seront invités à se connecter à une expérience d’échec qu’ils ont vécue et à effectuer le travail de « digestion émotionnelle » indispensable afin de pouvoir faire une analyse objective de son échec et d’en tirer les informations nécessaires pour se remettre en cause de façon constructive et avancer. Les participants auront alors moins peur de l’échec (le « zéro peur » n’étant pas souhaitable) et pourront l’intégrer pleinement comme une étape enrichissante dans leur parcours de réussite (la peur de l’échec étant une entrave à la prise de risques et d’initiatives indispensables à la progression).

 

ATELIER 7 – Renforcer la confiance en soi et celle de son équipe grâce à la visualisation positive

L’esprit humain a besoin d’anticiper le futur et de s’en faire une représentation pour avancer. C’est un besoin fondamental. Or, nous ne pouvons savoir à l’avance de quoi le futur sera fait. Pour quelle version allons-nous opter ? Penser que nous allons réussir ou au contraire échouer ? Les recherches récentes en psychologie cognitive montrent que se faire une vision réaliste de l’avenir (environ 50% de pensées positives pour 50% de pensées négatives), loin de suffire pour réussir nous prédisposerait même aux états anxieux et dépressifs. Ainsi, pour performer, il faudrait voir la vie (vision de soi, des autres et de l’avenir) légèrement en rose, l’idéal étant un ratio à peu près égal à deux tiers de pensées positives pour un tiers de pensées négatives, ce qui correspond au fameux nombre d’or de l’architecture grecque. Ayant bien compris le danger de la pensée positive qui peut facilement mener à une sur-confiance en soi dangereuse, la psychologie de la performance parle aujourd’hui de « pensée contrastée » : Pensez que vous pouvez réussir en toute circonstance, même si vous ne devez pas croire pour autant que cela va être facile !

Comment mieux repérer le flot de pensées négatives qui sape notre confiance en soi ? Et comment lui substituer pour soi-même et ses équipes une façon de raisonner plus constructive qui, sur le modèle de la pensée contrastée utilisée dans la préparation mentale en sport de haut niveau permet une progression optimale ? Telle est la question à laquelle nous tenterons de répondre dans cet atelier à travers des mises en situation de thérapie cognitive construites au plus près des contextes de performance auxquels doivent faire face les participants et des exercices de visualisation positive empruntés au champ sportif permettant de booster la confiance en soi.

 

ATELIER 8 – La dynamique des groupes : mieux comprendre son rôle dans le groupe et apprendre à construire une bonne dynamique de groupe

 

Tout comme nos forces de caractères qui sont gravées dans notre patrimoine génétique, notre place au sein des groupes auxquels nous appartenons est hautement déterminée tant par notre caractère que par notre histoire personnelle et il est extrêmement difficile d’en changer. Au cours d’un travail d’équipe, certains seront plus focalisés sur la tâche, ramenant les autres à se recentrer sur l’objectif poursuivi, d’autres seront plus centrés sur les enjeux relationnels, cimentant la cohésion de l’équipe, tandis que les troisièmes, par leur esprit de contradiction, amèneront le groupe à pousser plus au bout sa réflexion. Certains auront naturellement tendance à prendre le leadership alors que d’autres seront plus naturellement rompus aux stratégies plus ou moins conscientes de manipulation de leurs collaborateurs afin de les rallier et faire valoir leur point de vue. Tout cela participe à ce que la psychologie sociale a appelé « la dynamique des groupes ». Ces différents rôles ont tous un intérêt et une justification tant qu’ils restent équilibrés les uns par rapport aux autres (nous comprendrons facilement que la présence de 5 leaders naturels dans un même groupe risque par exemple d’aboutir à une situation de blocage). Mieux identifier en tant que collaborateur, son rôle naturel dans le groupe, savoir le canaliser et l’utiliser à bon escient et apprendre, en tant qu’entrepreneur, à construire une dynamique de groupe équilibrée sont des atouts indispensables afin d’optimiser ce facteur humain dont on a vu combien il était important en terme de développement.

À travers une mise en situation ludique dans laquelle les participants auront à résoudre un problème en groupe, ils seront invités à mieux identifier leur place au sein du groupe et à mieux l’exploiter par la suite. Les points théoriques exposés ci-dessus seront abordés et approfondis.

 

D’AUTRES ATELIERS pourront être envisagés en fonction des besoins et des demandes tels que :

  • Construire un climat relationnel harmonieux et productif au travail basé sur la notion de tolérance (qui n’est pas de la faiblesse !)
  • Le bonheur au travail : c’est possible et même souhaitable !
  • Etc.